Un Autrichien considérant Beijing comme son pays natal

2017-10-17

Leopold Leeb, originaire d'Autriche, est parti vivre à Beijing il y a 22 ans pour enseigner les langues classiques telles que le latin. En tant que professeur de l'Université Renmin de Chine, il a publié dernièrement sa nouvelle œuvre en chinois Wo De Ling Du (Ma capitale spirituelle). Il y décrit sa relation intime avec Beijing, ancienne capitale orientale, et confie lui avoir consacré ses trois « amours » les plus chers : le latin, le grec et l'hébreu.

Considérer Beijing comme son pays natal. Le bureau de Leopold Leeb est extrêmement simple, sans aucune décoration. Sur son bureau se trouvent des manuels d'usage courant et sur le tableau, une phrase : « Accomplir des bonnes actions sans demander de récompense ». Ladite phrase reflète bien son caractère.

En Chine, le latin n'est pas une discipline populaire, mais la plupart des œuvres de Leopold Leeb traitent de cette discipline, malgré des ventes qui restent faibles. Toutefois, il reste convaincu que le latin possède un fort potentiel en Chine et continue donc à publier des œuvres sur le sujet.

Dans son nouveau livre, Leopold Leeb décrit sa vie à Beijing et partage ses pensées à propos des échanges entre les cultures chinoise et occidentale. Lorsqu'il évoque Beijing, il dit souvent « Mon Beijing », ce qui exprime en réalité son amour profond envers cette ville.

china.org


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