Lancement officiel de « la Fabrique des traducteurs français-chinois » à Beijing

2017-12-11

C’est dans le but de développer les traductions entre le français et le chinois, et de promouvoir efficacement les échanges culturels entre la France et la chine qu’a été officiellement lancé vendredi 8 décembre à Beijing. « L’Atelier français-chinois de La Fabrique des traducteurs, Promotion Sylvie Gentil ».

L’«Atelier français-chinois de La Fabrique des traducteurs ATLAS-CCTSS » est co-organisé par Chinese Culture Translation and Studies Support (CCTSS),  par l’Association pour la promotion de la traduction littéraire (ATLAS) et le Service culturel de l’ambassade de France en Chine. Lors d’une conférence de presse tenue le même jour, le CCTSS, l’ATLAS et le Service culturel de l’ambassade de France en Chine ont défini leur partenariat, établi conjointement le modèle de coopération et signé une convention de coopération stratégique.

La première édition originale de « la Fabrique des traducteurs français-chinois ATLAS-CCTSS » se déroulera de mars à mai 2018. Trois jeunes traducteurs français et chinois seront sélectionnés pour cet atelier, qui se déroulera pendant quatre semaines à Arles en France et trois semaines en Chine. Ils traduiront au total trois textes de chaque langue, tout en cherchant à surmonter les défis posés par les différences culturelles.

Grâce aux ateliers pratiques et aux conseils d'experts, ils amélioreront la maîtrise de la langue et leur niveau de traduction, ils approfondiront les échanges culturels entre la France et la Chine, et promouvront la traduction mutuelle et la communication entre les cultures des deux pays.

La première promotion de cet l’atelier porte le nom de Sylvie Gentil, traductrice de renommé qui a traduit de nombreuses œuvres de la littérature contemporaine chinoise et qui s’est éteinte en avril 2017. Jean-Yves Coquelin, conseiller adjoint de la coopération et de l’action culturelle de l’Ambassade de France en Chine, a indiqué que la nomination de la première promotion a pour but de lui rendre hommage. « Elle était passionné par le français et le chinois. Elle a voulu offrir aux autres ce voyage qu’elle avait elle-même initié entre le chinois et le français, elle est donc le symbole de cette première promotion de l’atelier franco-chinois », a souligné M. Coquelin.

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